LE MUSÉE DE LA DÉPORTATION ET DE LA RÉSISTANCE DE TARBES ET DES HAUTES-PYRÉNÉES

À propos

Ces collections sont devenues municipales le 16 décembre 1988 et aujourd’hui, le Musée de la Déportation et de la Résistance est géré par le Service des Musées de la Ville de Tarbes. La visite du Musée de la Déportation et de la Résistance invite chacun à méditer sur le sens du mot « DEVOIR » : Devoir de la mémoire, mais aussi devoir de vigilance et de citoyenneté afin que les générations futures ne revivent « PLUS JAMAIS ÇA » car selon les mots de Bertolt Brecht « Le ventre de la bête immonde est encore fécond »… La visite du Musée se présente en étapes chronologiques : – L’embrasement de l’Europe : 1933-1942 – Résistance et répression – La Déportation : de l’oppression à la LibérationLe Musée de la Déportation et de la Résistance de la ville de Tarbes et des Hautes-Pyrénées a ouvert ses portes en 1989, né de la volonté de lutter contre l’oubli pour que vive la mémoire des combats menés contre l’oppression, la haine et le racisme. Comme l’avait souhaité son fondateur, le docteur Raymond Solladié, ce lieu de mémoire s’adresse à tous et vise à transmettre des connaissances précieuses sur l’époque. Tarbes reçut la CROIX DE GUERRE pour son action. C’est toute l’histoire locale de la Résistance que le Musée aborde: celle des prisonniers de guerre, stalag, résistants, évadés, déportés, internés, Régiment de Bigorre, passeurs dans les Pyrénées.Ce musée émouvant permet de comprendre les réseaux de résistance des Hautes-Pyrénées et replace Tarbes au centre de ce dispositif à l’image du Corps Franc Pommiès. Les collections présentées au départ dans une exposition itinérante se sont fixées par la suite dans les locaux de cette ancienne école, attribués par la ville de Tarbes, aux associations d’anciens combattants et déportés fondatrices de ce Musée.

Langues parlées : Français

Localisation