Séjour nature à La Pouzaque

La maison, les installations

L’ancienne bâtisse a conservé son charme d’antan : pierres et poutres apparentes, cheminée… lui donnent une note authentique et chaleureuse.

La maison

Sur trois niveaux totalisant plus de 300 m2 de surface habitable, l’hébergement comprend 14 chambres (62 couchages).

Premier étage : 41 couchages
Deuxième étage : 21 couchages

De plus, le centre dispose au rez-de-chaussée :

– d’une chambre réservée aux personnes à mobilité réduite (2 lits)
  avec sanitaires adaptés.
– d’une chambre pour accompagnateurs (2 couchages).
Rez-de-chaussée

• 2 salles à manger (dont une avec cheminée)
• 2 salles d’activité                                                                                                     

 • 1 chambre + salle de bain équipée pour personne à mobilité réduite    

• 1 chambre pour accompagnateurs de personne à mobilité réduite       

 • 1 bloc sanitaires / vestiaires (lavabos, toilettes)
• 1 cuisine équipée et réserve alimentaire
• 1 local téléphone
Premier étage

• 10 chambres de 2 à 6 lits (dont une avec douche, lavabos et centrale d’alarme incendie)
• 2 blocs sanitaires (douches, lavabos, toilettes)
• 1 infirmerie (douche, lavabos, toilettes)
• 1 bibliothèque

Deuxième étage

• 4 chambres de 2 à 6 lits

La démarche de cohérence
   
Une double responsabilité
Une structure E.E.D.D pertinente et crédible.
Un centre d’accueil et d’hébergement responsable.

Afin d’asseoir la pertinence et la crédibilité de son discours de structure E.E.D.D (Education à l’Environnement vers un Développement Durable),    tout en assumant ses responsabilités de structure d’hébergement (environ 13 000 journées utilisateurs par an), La Pouzaque se devait de mettre en cohérence son fonctionnement au quotidien avec ses valeurs pédagogiques et éducatives.

De cette prise de conscience est née une démarche particulière qui vise à optimiser notre fonctionnement quotidien, afin de le rendre de plus en plus respectueux de l’environnement.

La Pouzaque est résolument orientée dans une démarche de gestion respectueuse de l’environnement.

Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt.

Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants
le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher
quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu.

Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire,
lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec
ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! ».

Et le colibri répondit : « Je le sais, mais je fais ma part. »

Les enfants et les adultes accueillis à La Pouzaque tirent par eux-mêmes les leçons de cette légende amérindienne chère à Pierre Rahbi et acceptent volontiers de « faire leur part ».

Ainsi, par exemple, à La Pouzaque, à la fin de chaque repas, ils vident leurs fonds de verre ainsi que les fonds de carafes dans un seau puis le seau dans la fontaine qui alimente les cuves de stockage pour l’arrosage du jardin. Au-delà de la notion d’éviter de gaspiller de l’eau,  chacun perçoit combien son « petit geste individuel », conjugué à celui des autres, devient d’une grande importance car le seau peut ainsi récolter plusieurs litres.

Ces actes participent de notre volonté de développer la responsabilité individuelle en incitant chacun à prendre sa part vis-à-vis du respect de l’environnement.

Grâce à ses nombreuses réalisations : alimentation cohérente, gestion des flux, production d’eau chaude solaire, toilettes sèches, déchetterie, phyto-épuration, arborétum, jardin biologique… qui sont autant d’outils pédagogiques « grandeur nature », elle traduit au quotidien les principes du développement durable.

La Pouzaque s’applique à optimiser son fonctionnement quotidien  afin de le mettre en adéquation avec ses valeurs éducatives et pédagogiques (cohérence entre son discours et ses actes).

Cette démarche dynamique qui s’inscrit dans la durée, est basée sur une analyse permanente de tous nos fonctionnements et vise plus particulièrement à modifier les comportements des individus.

Cette recherche de cohérence est un « chantier permanent » qui ne pourra connaître de fin tant qu’il sera possible d’optimiser nos équipements et nos fonctionnements.